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MES SPECIALITES

  1. Tout trouble psychologique, dés lors qu'il est lié à une situation actuelle ou passée, qui réactive une histoire, bien souvent oubliée. 
  2. Toute difficulté liée à une émotion envahissante, notamment de type traumatique ou psychotraumatique.
  3. Thérapie ciblée ou de fond.
  • ​Psychotrauma (EMDR - Thérapie de la reconsolidation.)
  • Schémas de répétition (méthode introspective)
  • troubles de l'anxiété - émotionnels ou sensibilité accrue (selon cause et déclencheur)
  • troubles relationnels, de dépendance, avec ou sans colère exacerbée (selon origine et contexte)
  • angoisse - obsession/phobie (EMDR avec ou sans introspection)
 
Pour chaque spécificité, les méthodes peuvent être croisées et agrémentées de manière à s'adapter le plus justement à chacune des difficultés rencontrées.
DU SYMPTÔME À SA RÉSOLUTION :

En fonction du type de trouble ou de la difficulté rencontrée, le travail va varier selon qu'il nécessite d'agir directement sur le symptôme, ou sur sa mise en sens. Là où certaines personnes vivent plus durement l'incompréhension de leurs troubles, d'autres en revanche sont surtout dans l'inconfort de les vivre, et ont pour demande prioritaire de les soigner. 

C'est ensuite la caractéristique du symptôme qui va orienter le choix du travail. 

Par exemple dans le cas d'émotion très insistante, on n'interviendra pas de la même manière selon que cette insistance est liée à une hypersensibilité, à la reviviscence d'une partie douloureuse et parfois inconsciente de son histoire, ou de la réactivation d'une mémoire traumatique. 

Ce sont trois modalités très différentes d'application psychothérapique, bien qu'à la base, le trouble semble être le même.

Il en va de même pour bien des symptômes d'ordre psychologique. Il ne se suffit pas à lui-même pour comprendre ce qui en est à l'origine, et la manière de l'accueillir pour agir dessus.

De nombreux symptômes reviennent ainsi fréquemment dans les inconforts (et ce peut être un moindre mot) rencontrés par les patients. Ils n'ont pourtant pas tous ni les mêmes motifs, ni les mêmes conséquences ou traductions. Le premier travail, indispensable, du premier entretien consistera par conséquent à étudier la cause à partir des éventuels éléments associés.

DES MÉTHODES, UNE ETHIQUE

L'équilibre créé au fil des années entre les enseignements et la clinique variée que j'ai pu accueillir, m'a conduit à m'orienter spécifiquement de deux axes :

  • où se situent les affects ? (sentiments, émotions, sensations....)

  • Qu'est ce qui se dit de l'histoire ? (passé, présent, imaginaire, mnésique...)

C'est à partir de ces deux questions, qui sont à la source de la plupart des symptômes psychologiques, que j'ai pu constitué ma pratique, toujours à la recherche de celui qui, de ces deux axes, cherche à maitriser l'autre, se traduit et s'explique par le trouble occasionné, et se trouve être le plus impliqué dans les difficultés rencontrées.

DE LA CAUSE INCONSCIENTE AU PSYCHOTRAUMA

Il n'est pas rare, voire très fréquent, que les troubles psychologiques soient la réactivation d'un passé plus ou moins éloigné, mais suffisamment enfoui, pour qu'aucun lien ne soit fait de prime abord entre le symptôme rencontré et cette partie de son histoire. On va alors expliquer les difficultés par un fait du présent, une cause actuelle et très identifiée. Ce n'est pas tout à fait faux, en ceci qu'elle vient en quelque sorte révéler par l'inconfort occasionné, une partie de son passé, qui reste très active et questionnée par la sphère psychique. C'est un peu comme si cette anecdote en mémoire, semblait en sommeil, au point de ne plus y avoir accès, et qui se trouve pourtant être l'origine même de ce qui vient réveiller en conflit, un élément du présent rencontré, et qui a un tel retentissement sur l'individu, que celui-ci se trouve être gagné par des attitudes et comportements qu'il ne comprend pas, ou comprend de manière telle, qu'il ne parvient pas à les résoudre. Le trouble est alors tel un messager qui impose un décodage pour enfin intégrer dépasser cet élément du passé resté actif.

Il arrive parfois que cet élément de l'histoire, ne soit pas vécu comme une question en attente de réponse ou d'acceptation de ne plus l'être. L'élément apparait parfois de manière traumatique. C'est à dire qu'un évènement accessible au souvenir ou pas, a généré une émotion telle, que celle-ci reste active et en suspens. Elle n'a en quelque sorte pas pu être intégrée et régulée par la sphère émotionnelle psychique, et cette émotion est ainsi décalée de l'évènement qui l'a causé. Elle va par conséquent errer au quotidien dans la vie du patient et se saisir de toute occasion pour exister. Ceci peut se faire directement, et dans des situations qui rappellent l'évènement de manière assez claire, ou à distance du moment de l'évènement, et se lier à des contextes qui ne semblent, de prime abord, n'avoir aucun lien direct avec la situation causale. L'ancienneté de l'évènement n'a rien à voir avec la potentialité d'une reviviscence émotionnelle. Il arrive que l'histoire à la base du trauma soit dans un passé si lointain, que le patient lui-même avait oublié cette histoire. En revanche l'émotion, elle, n'a que faire du temps, et est restée activée depuis, trouvant, dans une occasion particulière, la possibilité de se rappeler au souvenir, en occasionnant les troubles associés. Aujourd'hui, ce type de syndrome se traite de manière efficiente et via des thérapies brèves spécifiquement indiquées.

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